Succès du 1er Congrès du SCO France
« Unique au monde », « solutions opérationnelles et transposables », « écosystème collaboratif », « au plus près des territoires »… Mardi 7 décembre 2021 à l’hôtel de Roquelaure, les membres et partenaires du SCO France ont dressé leur portrait du SCO. Résumé dans la courte vidéo ci-dessous.
Masques et gestes barrières de rigueur, les représentants des organisations impliquées dans le SCO France ont ainsi dressé, ensemble, un premier grand bilan des actions menées. Ils ont également réaffirmé leurs engagements en faveur de l’adaptation et de la lutte contre le changement climatique. Pour l’occasion, tous les participants ont reçu un petit cadeau : le Carnet de SCO.
Rappel des phases clés du Congrès :
- Préambule de Barbara Pompili, Ministre de la Transition écologique, suivi d’une allocution de Philippe Baptiste, Président du CNES ;
- Signature de l’accord de coopération entre le CNES et l’ADEME (voir le focus en fin d’article) ;
- Deux tables rondes : « L’engagement public dans le SCO », illustré par les représentants du Cerema, de l’IRD, de Météo-France et de l’ADEME, et « Des projets SCO au plus près des territoires », où plusieurs porteurs de projets témoignent des apports concrets du SCO pour mettre en œuvre leurs solutions.
« Cet observatoire spatial du climat est à ce jour la seule initiative qui fait le lien entre les donnée environnementales, les données spatiales et l’action au plus près des territoires. C’est une sorte d’OVNI parmi les alliances internationales, et c’est une originalité comme il en faudrait beaucoup plus. » Barbara Pompili, Ministre de la Transition écologique
L’ADEME formalise son engagement
À l’occasion de cette rencontre, le CNES, représentant du SCO France, et l’Agence de la Transition Écologique ADEME ont signé un accord via lequel l’ADEME s’engage à un financement récurrent de projets SCO relevant de son domaine de compétence dès 2022. Cette contribution - jusqu’à 1 million d’euros pour l’année 2022 - est essentielle à l’avenir des projets SCO et confirme les enjeux de transition écologique au cœur des priorités des pouvoirs publics.